Une aura étrange...

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Le Ciel venait à peine d'ouvrir ses bras à l'astre solaire lorsque la Jeune pretresse Arisu sortit de chez elle aprés avoir eu un drôle de présentiment. Calment, elle s'était habillée et c'était rafraichie avant de passer le pas de sa porte pour parler de ce rêve étrange à sa Déesse de toujours.
Prenant la rue en contre bas pour trouver un chemin plus court arrivant à la boutique de Yuukô, Arisu aimait regarder les gens l'épier du coin de l'oeil. Il se croit discret mais Arisu entend même le crissement de leur cou lorsqu'ils tournent légèrement la tête pour entrevoir ses jambes nues jusqu'à la naissance de ses cuisses. Oui, elle était habillée d'une robe robe et trés vaporeuse d'un noir presque ténébreux. Dans ses long cheveux blonds ondulants, une rose blanche. Ses yeux legèreme maquillaient de noir, elle marchait avec ses petites chaussures à talons en esayant de ne pas trop croiser de fou à lier. Tournant au détour d'une grande avenue, Arisu se disait qu'elle n'aimait pas arriver là bas les mains vides. Elle décida donc de s'arrêter chez le boulanger pour acheter quelques viennoiserie. Aprés quelques pas elle découvrit l'ancien de la boutique aux délices, décidant de prendre beaucoup de sortes de patisseries, elle sortir beaucoup de pièce l'unique poche de sa robe, les déposant sur le comptoir en demandant d'une voix mielleuse au patron présent.

-" Une Douzaine de vos meilleures patisseries."

Le patron se demandait si la jeune femme si jolie était une illusion. On ne lui avait jamais acheté autant de patiesserie de cette qualité d'un coup d'un seul. Arisu était la femme aux records et elle aimer lire dans les têtes pous savoir qu'elle était le souhait de la personne face à elle. Ainsi elle ressortit de la boulangerie certaine d'avoir fait un heureux en ce si beau matin. Ss bras chargés de sachets en papier, elle tourna de nouveau pour voir les portes déjà ouvertes d'un parc qui était un raccourcis trés astucieux si on le connaissait bien. Passant par des bosquets de fleurs aux multiples couleurs chatoyantes, la Jeune femme pas trés commune aux autres femmes semblait flotter au dessus des fleurs. Bien évidement les fleurs devaient être poison tout comme le reste des décors de cette ville monstrueuse mais qui avait réellement son charme aussi. La Jeune femme croisa de nouveau le regard de quelques passants, elle aimait sentir leurs regard sur sa peau, avec délicatesse elle leur rendait leur sourire tout en continuant la route d'un air mystérieuse à souhait. Avec souplesse, elle sauta du sol vers le toit d'une maison pour faire voler sa robe dans une douce mélopée. Attérisant sur le toit, elle commença à faire la funombule sur les goutières alors qu'elle sentait la chaleur des patisseries entrer en elle. Arisu allait sentir bon lorsqu'elle arrivera à la boutique de sa Dame, justement elle en apperçevait déjà le toit.

** J'ai l'impression qu'il se trame réellement quelque chose de pas net dans cette put*** de ville. Ma parole je pense que j'ai intêret à faire gaffe à mes fesses**

Doucement mais sûrement, elle arriva devant l'enseigne du commerce de la sulfureuse Yuukô, esperant qu'elle soit déjà éveillée, elle sauta au sol avec toute sa féline souplesse, traversant la rue de part en part pour enfin arriver devant la porte de sa maîtresse d'école ( mdr ).
Elle toqua par trois fois sur la porte... Esperant qu'on l'entend de là où elle était en cet instant.

Encore un matin. Encore une dispute. Encore et toujours la même rengaine. Bientôt Yuukô sortirez un livre… Mais dieu qu’ils pouvaient être énervent… Mais on ne s’attaquait pas la maîtresse de maison a proprement parler alors, autant ne rien dire et écouter vaguement la dispute du père et sa fille en buvant son café whisky préparer par les soins de jade. Yuukô était cette fois-ci vêtue d’un kimono au couleur mauve, qui retomber sur ses épaule, laissant entrevoir un bustier Jaune. Kurogane allez encore galérer pour lui retirer.

Elle laissait la radio une fois de plus allumée, qui diffusait une douce musique de rock de langue étranger… Une musique qui avait éternellement des paroles a double sens… Yuukô se mit a chantonner la musique, alors qu’elle voyer Kurogane s’énerve une fois de plus sur sa fille cadette de deux minutes. Yuukô elle continuer a chantonner la chanson de rock, et la famille arrête un instant de s’agiter pour regarde Yuukô bizarrement…

Cette dernière n’en tint pas compte et souffla sur les voluptés de fumée qui s’échapper du café encore chaud. Il était trop tôt pour elle, mais elle avait décider de suivre le rythme de sa famille pour elle, c’est pourquoi elle était réveiller depuis maintenant trois heures. Mais comment diable faisaient-ils tous ! Aucun ici ne connaissait le mot flemmarder ? glander ? Dormir ? se reposer ? ou même : SILENCE ? Il fallait croire que non… Mais quelle famille ! Comment diable était elle passé de la jeune célibataire langue de vipère désirée au stade de mère au foyer qui doit jouer les lève-tôt pour sa famille.

Heureusement il y a peu elle avait découvert le sens du mot « adulation » et « amitié » une jeune femme bien ténébreuse s’était « amouracher » de la jeune – herm, herm – sorcière des mensonge.. euh dimensions. Il lui semblait d’ailleurs entendre le bruit de ses talons et une délicieuse odeur de pâtisserie… Mais un instant… Trois coups a la porte ? Yuukô offrit un sourire et se précipita dessus pour ouvrire à sa jeune admiratrice.

« Arisu ! »

Hurla la jeune femme, en laissant pénétrer la prêtresse dans la boutique, elle sentait déjà la mine de son mari se décomposer en entendant ce prénom. Yuukô pris une pâtisserie qu’elle entama délicatement, avant de poser le sachet sur la table de la cuisine, invitant Arisu a s’asseoir a sa place qu’elel avait occuper il y a peu.

« Silence… vous n’en avez pas marre d’hurler a longueur de temps ? Arisu nous apporter des pâtisserie faudrait la remercier ! oui même toi Kurogane, même si tu n’aime pas les sucreries ! »

Comme tous les samedis matins, dès qu'il fut levé, Kurogane dut avoir affaire au caprice habituel de Chi intitulé: « Papa, prête moi ta voiture! ». Kurogane connaissait bien la chanson. Il était contraint de la supporter chaque semaine, et chaque semaine il se devait de répondre toujours la même et iréémédiable chose: « Non ».

Pourquoi est-il si sévère me demanderez vous? Pourquoi ne peut-il point accorder ne serait-ce qu'une once de confiance à sa fille bien aimée? La réponse est simple.

Le pauvre toutou, fatigué de devoir toujours refuser, un beau jour eut le malheur d'accorder à sa fille ce qu'elle désirait tant. Chi, toute heureuse, put enfin aller où elle voulait sans prendre les transports en commun ou user de ses jolis petits pieds. Le soir même, il retrouva sa précieuse voiture, sa compagne de travail, ce bijou de la technologie encastrée dans le mur de la rue principale par les bons soins de sa fille.

Il la punit alors comme jamais il ne l'avait fait, « jusqu'à ce que mort s'en suive » avait il bien précisé. Chi était privée d'argent de poche et de sortie jusqu'à ce qu'elle ait totalement remboursé sa dette, jusqu'au dernier écrou.

Il était donc, comme à l'accoutumée, planté au milieu du salon, occuppé à crier sur sa fille cadette, pour le plus grand malheur de sa femme et de Jade, l'aînée. Ce n'est pas qu'il prenait plaisir à le faire, au contraire; seulement il ne pouvait se permettre d'accorder cela à Chi après ce qu'elle avait fait.

C'est alors qu'elle entra. Elle, son pire cauchemar, elle qui monopolisait Yûko, Arisu, la prêtresse. En apercevant la jeune femme entrer dans la boutique comme une fleur, on put voir un soupçon d'horreur et de désespoir s'afficher sur le visage du ninja durant un très court instant. Le pire, c'est qu'Arisu avait apporté des pâtisseries. Il se voyait déjà obligé de les goûter, et une légère nausée lui prit lorsqu'il perçut l'odeur sucrée qui s'en dégageait.

« Je ne la remercierais pas même si elle m'avait apporté la tête de Fye sur un plateau d'argent ! » avait-il répondu à Yûko, ironique.

Contraint de supporter jusqu'au bout ce visiteur inattendu, Kurogane, en gentleman, glissa une chaise derrière Yûko pour qu'elle puisse s'asseoir à côté de son amie. Si Tsukiyo avait vu cela, elle en serait restée perplexe, telle une poule devant un ticket de métro.

Cependant, non pas pour vous briser cette image de galanterie masculine mais pour vous rappeler qu'il n'était rien d'autre qu'un homme, (à vrai dire, qu'on a surnommé un démon, mais ne nous occuppons pas de cela) il s'assit en face de sa femme, où il put s'adonner à une occuppation totalement masculine: mater.

En effet, le kimono violet de soie de Yûko laissait entrevoir un magnifique bustier jaune et, puisqu'elle se penchait légèrement, un aperçu de son contenu. Il se demandait d'ailleurs si elle prenait plaisir, en revêtant de tels vêtements, à lui compliquer la tâche.

Je suis sûre que les intentions de Mr vous paraissent nettement moins innocentes maintenant. Mais puisque personne ne se préoccuppait de lui, c'était sans importance. Il songeait également à la façon dont il allait procéder pour chasser Arisu. Ca n'allait pas être de tout repos, mais comme vous le savez bien, il adorait les défis.

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Heureuse de voir sa chère Yuukô d'aussi bonne humeur, Arisu ne fit nullement attention à ce gros jalou de toutou qui grognait encore une fois au simple fait de voir la jeune et belle pretresse. Il ne pouvait comprendre qu'une autre personne que lui, grand maitre de tout sur tout, pouvait être aimé de sa femme si tendre que sensuelle. Oui Yuukô faisait encore preuve d'esthétisme dans ses vêtements legers... Arisu en était toute retournée de la voir si belle et si prés d'elle. Pourtant elle n'en laissait rien d'apparaitre alors qu'elle déposait les patisseries sur la table.

-" De toute façon je n'ai nullement pensé à toi en les achetant Kurogane. Alors gardes tes sarcasmes et continue de jouer les dictateurs..."

Se retourna brievement pour prendre la chaise de leur balançait l'homme orgueilleux, Arisu la plaça prés de celle ce sa Déesse. Oui Yuôko était tou pour Arisu, une mère, un amour caché, une façon de pensée, elle trouvait tout en elle pour son plus grand plaisir et son equillibre mental aussi. Laissant sa robe planer frivolement laissant découvrir ses courbes appetissantes, Arisu prit place auprés de la Femme qu'elle aimait le plus au monde, même la seule qu'elle aimait.
Ses yeux améthystes petillants d'un simple bonheur d'être prés de la pulpeuse Yuukô, elle se moquait des satires de son mari et savait pertinement qu'il ferait tout pour la mettre dehors. Mais le simple fait de l'avoir vu éclairé sa journée la rendant moins morne et plus vivable pour Arisu. C'était comme si de l'oxygène était soudainement apparu sur la lune par la simple présence de Yuukô. Pourtant ses yeux s'enraillaient doucement alors que son coeur se serrait de comprendre que Kurogane réfléchissait déjà à un moyen de la ficher dehors.

-" Ma Muse, tu sais que j'ai quelques dons et j'ai ressentit, en se bon matin, une ombre étrange planer sur cette ville que tu chéris comme la mère aimante que tu es. Oui je sens un danger pour nous survenir des contrées bénéfiques et j'ai tellement peur pour toi que j'ai préféré te le dire le plus tôt possible en m'excusant du plus que je pouvais avec ses simples patisseries..."

Son visage baissé vers le sol, la pauvre jeune femme qui sortait à peine de l'age d'adolescence, elle qui était seule au monde perdue et sans ressources autres que les paroles de sa Déesse, essayait de presser son oratoire en ressentant la perfidie du seul homme présent dans cette pièce. Oui Arisu se leverait méchamment s'il les interromptaient, il se fichait de son amour propre et il ferait comprendre qu'elle n'était pas là pour le gener mais pour faire ce qu'il ne faisait en bon prince pet cul qu'il était... proteger sa femme ... Doucement Arisu leva ses yeux larmoyants vers Yuukô, elle avait tellement envie de tendresses et de douces paroles que les attaques de cet homme la mettait dans tous ses états...

-" J'en ai assez ma Déesse, je me retire... mon coeur m'en peut plus des ondes terrifiante de votre mari qui ne veux que mon départ et m'écarter de vous ... Je veillerai sur vous d'où je pourrais..."

Elle se leva se sa chaise, s'approchant de la porte...

Yuukô fut surprise. Surprise de la courtoisie dont faisait part son mari. Non pas que ce soit un ours en tant normal, quoique qu’après réflexion, si c’était un ours en tant normal… Cela en étonna plus d’un… EN particulier Yuukô qui faillit tomber, si il n’y avait pas eu la chaise tendrement proposé par son doux mari dans un bon jour aujourd’hui. Elle rigola a la remarque de son cher nounours-radiateur-oreiller-chien de garde a temps partielle. Si Arisu lui amenait la tête de fye sur un plateau en plaqué or peinture d’argent, il serait a ses pieds, enfin… je supposes.

Yuukô resta silencieuse, laissant les deux chien, l’un berger-allemand pur race de couleur noir, l’autre Colley élégant pas forcement pur de couleur blanche, s’entre tuer sagement pour un morceau de viande, ici ce serait plutôt le steak cinq étoile accompagnée d’une douce sauce raffinée et d’un parffum alléchant – comprendre dans l’ordre : Kurogane, Arisu & Yuukô. Le morceaux de viande en question entrain de manger cette maigre pâtisserie choisis spécialement pour elle, se désespérant littéralement du manque de soins de son mari, qui ne lui offrait ni bijoux, ni pâtisserie ni… Elle exagère tout de même, car a son cou prônait royalement un jolie collier en diamant offert lors de sa période « ménage jeu de piste », qu’est-ce me diriez vous ? Et bien un jour Yuukô but suffisamment de bouteille pour finir saoul, monsieur profiteur, lui fit signer un drôle de papier prétextant que « c’est le butin de jade, signe-le ! » Yuukô le signa sans rien voir, et se retrouva le lendemain avec un contrat l’obligeant a faire le ménage pendant une semaine. C’était un coup de Chi, Jade et Kurogane qui s’était tous allié pour la bonne (ça, ça dépend du point de vue) cause, c’est a dire donner une leçon a Yuukô. Ce fut ce jour là qu’elle décider que pour vengeance, pendant deux semaine monsieur ne la toucherai plus. Le revers de médaille fait très mal.

Mais le sujet n’était pas là. Yuukô observa Kurogane, et comprit immédiatement pourquoi cet excès de galanterie soudain, ah les hommes, tous les mêmes. Que faire ? Réajuster son kimono pour dire a monsieur le berger-allemand noir : soit plus discret ? Oui. En voilà une idée ! Elle fit un sourire ironique, puis remonta la manche de son kimono et le referma au grand dam de notre star-souffre douleur national.

Yuukô entendit brièvement le « dictateur » prononcer par Airsu. Oh oui ! Parfait ! Ca lui allait a ravir. Bien que d’après tous, ce fut Yuukô la plus tyrannique des deux… Yuukô apprit par la même occasion qu’une onde malveillante planait sur les dessus de Tokyo-Ni… Les yeux fermée elle fit un oui de tête avant de poser sa énième pâtisserie – de toute manière elle perdrait toute ses calorie soit ce soir, soit demain soir.

« La ville serait en danger. Et Kuria ne l’aurait pas remarquer… C’est assez particulier, mais je prendrai les mesures, arrivera ce qui doit arriver. »

Lança-t-elle a l’attention d’Arisu comme si tout ce que disait Kurogane passer au travers, de toute manière, Kuorgane était bien trop silencieux. Aujourd’hui en tout cas. Puis sa chère admiratrice annonça que l’aura de Kurogane la faisait fuir, elle la retint par le bras avant de lancer a l’intention de son cher mari.

« Tu pourrais penser un peu a moi non ? Toi t’a bien des amis genre tsuki, fye, fei et yoko, ou même aki et kyoo, est-ce que je les vires de la maison ? Non ! T’es pas sympa, moi j’ai qu’une amie qui viens occasionnellement et tu trouve le moyen de la faire fuir. Soit un peu gentille avec elle. Pourquoi tu ne l’aime pas. »

Elle se retourna ensuite vers Arisu, ce qu’elle avait dit a Kurogane avait était lancer sur un ton lourd en reproche, mais pas une engueulade non plus, ben que Kurogane allait sûrement se vexer.

« Arisu, reste, si monsieur ne veux pas que sa femme ait des amis ca le concerne, pas toi… Et tu est très bien ici, tu veux un saké ? Je t’offre même la chambre d’ami. »

Oh ! Ciel ! Son mari allait se pendre, devoir subir Arisu a longueur de journée. Quelle damnation !

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Arisu n'était vraiment pas d'humeur à en entendre plus, elle ne pouvait pas imaginer que ce mariage avec Yuukô soit un mariage d'amour... il voulait juste avoir un splendide corps sur lequel se coucher et voilà tout. Perfide comme l'haleine des démons sortant des bars avant que le soleil ne se lève enfin. Arisu ne se sentait pas à l'aise ici, les deux petites du couple semblaient prendre plaisir à voir la jeune prétresse s'en prendre plein la tête juste parce qu'elle était une véritable amie pour sa tendre Yuukô. Elle entendit les paroles de sa maîtresse, elle semblait ne pas prendre attention quant aux paroles du chien de garde de la boutique, Arisu en était fière et elle lui répondit sans trop en avoir envie véritablement.

-" Mais cette fois ci ... c'est plus terrifiant qu'auparavant Yuukô-sama. J'ai bien peur que beaucoup perdent la vie. Et pourtant je n'arrive pas à savoir si la menace sera de chair ou de liquide spectral..."

Doucement elle sentait le regard de Yuukô sur son corps et cela avait toujours le don de la faire frémir, elle se sentait tellement bien avec elle que même en présence de Kurogane elle s'en sentait appaisée. Arisu lui sourit alors que toutes les paroles du Mari n'avait plus d'importance en ce simple instant. Elle regardait la maîtresse avec un amour infini alors que sa dame parlait en toute franchise sur son comportement. Il était vrai que Yuukô n'avait pas autant d'amis que pouvait en avoir le traité de chien de garde alors pourquoi devait-il se comporter ainsi devant Arisu. Elle ne lui avait jamais fait de mal et n'avait jamais eu l'honneur de lui manquer de respect.

** De toutes façon j'aime Yuukô beaucoup plus que lui, il doit avoir peur de moi pour cette simple cause et se faire injuste envers moi alors que je n'ai jamais rien fait qui peut expliquer une telle rancune envers moi. Je ne suis nullement une vipère, ni un rapace comme il semble l'être si bien...**

Arisu était indecise quant à sa décision pour ses prochains faits. Elle avait envie de partir pour ce proteger des attroces paroles de cet homme injuste encore elle mais elle avait aussi envie de proteger celle qui fait battre son coeur sans cesse. Un cruel dilenme que Yuukô régla sans qu'elle n'ait entendu les paroles de Arisu. Lui prenant le bras avec douceur mais insistance, la douce Arisu tourna de nouveau son visage vers la Dame de la Ville pour lui sourire en murmurant un merci en toute pudeur, en toute tendresse...

-" Je ne peux me pemettre d'abuser de votre si douce hospitalité ma belle Yuukô. Vous êtes trop tendre avec moi... Pourtant je ne sais comment refuser une offre aussi douce à mon coeur. Quel plaisir aurais-je de passer du temps auprés de vous, moi qui me fais tant de soucis aprés ses horribles prémonitions..."

arisu a écrit:: " J'en ai assez ma Déesse, je me retire... mon coeur m'en peut plus des ondes terrifiantes de votre mari qui ne veut que mon départ et m'écarter de vous ... Je veillerai sur vous d'où je pourrai..."

Kurogane ricana. Quel cinéma elle faisait! Cela avait été trop facile à son goût. Le simple fait de la regarder méchamment l'avait fait flancher. Cependant, ce bref sourire victorieux ne tarda pas à s'estomper du visage du ninja: non seulement Yûko avait remonté sa manche, mais ce n'était plus très important pour lui, puisqu'il y avait pire: elle lui en voulait. S'énerver, devant l'adversité surtout, ne servirait à rien, il le savait bien, mais il ne put s'empêcher d'ajouter:

" Pourquoi je ne l'aime pas, ta prêtresse? Devine! ...pfff!"

Il eut juste le temps de prononcer le sarcasme que Yûko avait invité la belle à rester. Il crut qu'il allait exploser de rage mais n'en laissa rien paraître, autre que son habituel air impassible.

Il comprit, sur cette décision, que sa femme l'invitait à quitter la pièce. Cela faisait plus de 16 ans qu'il vivait avec Yûko et il la connaissait par coeur. Pas de doute possible. Il prit un air mélancolique, expression qui passa sur son visage aussi vite qu'on éclair. Il était forcé de se rendre.

* Quelle lèche-bottes cette prêtresse...* Pensait-il. * Pour une fois que je suis là, il faut qu'elle me vole ma femme... elle m'énerve!! *

Il se leva, et plongea ses yeux écarlates dans ceux de Yûko une dernière fois avant de quitter la pièce. C'était un regard profond et doux, plein de compassion, si tendre que le chat potté se serait bien vu prendre des cours.

Il était étonnant qu'il regarde sa femme ainsi devant quelqu'un, -même quand ils étaient tous les deux, cela n'arrivait pas souvent- pourtant, il voulait prouver quelque chose à la jeune prêtresse présente dans la pièce. Lui prouver qu'il aimait Yûko plus que tout, et sûrement plus qu'elle.

Alors il détourna son regard vers Arisu, qui devint aussi dur et froid que la glace. Il se mit en face d'elle, et dit, d'une voix rauque, comme si il avait réussi à lire dans l'âme de la jeune fille:

" Tu peux penser ce que tu veux, tu peux faire ce que tu veux, jamais tu n'aimeras Yûko plus que moi. "

Il traversa alors le salon d'un pas décidé, et monta à l'étage, laissant les deux femmes sur ces mots. C'était pour ainsi dire une déclaraton de guerre qu'il venait de faire.

* Jamais elle ne me prendra Yûko, cette ordure! Jamais!! *

Yuukô écoutait sagement les propos comme quoi une onde malveillante planait sur les dessus de Tokyo Ni et il n’y avait pas que ça. La nui dernière, la prêtresse d’Hemelle l’avait appeler pour lui signaler que des « monstres » avait passer la barrière lumineuse, et surtout que Jivel n’avait rien put faire, ça commencer a l’inquiéter. Cependant elle ne tressaillit pas, se contentant d’acquiescer, la jeune femme était bien gentille, de lui accorder ainsi se doutes. Le colley mériterait le morceaux de viande pour la peine. Mais Yuukô est possessive envers sois même et donc préserver conserver ce steak cinq étoile pour plus tard.

Kurogane prit enfin la parole. L’ours qu’il était daigner lui parler en lui manquant de respect, pour ne pas changer. Quoique ce n’était pas du manque de respect qui pointer dans sa voix grave, mais légèrement plus de l’agacement. Les colleys et les berger-allemands ne s’entendent pas, c’est connu. Kurogane prononça son sarcasme, qui fut malheureusement suivit du pire cauchemar pour kurogane ! Arisu pouvant rester a la maison. Yuukô vit la triste mine de son toutou, mais lui expliquerai après pourquoi elle faisait tout ça. Arisu quant à elle déclinait l’offre pour la forme certainement.

« Je ne peux me permettre d'abuser de votre si douce hospitalité ma belle Yuukô. Vous êtes trop tendre avec moi... Pourtant je ne sais comment refuser une offre aussi douce à mon cœur. Quel plaisir aurais-je de passer du temps auprès de vous, moi qui me fais tant de soucis après ses horribles prémonitions »

Yuukô eut un sourire en entendant le « Belle Yuukô » cela ravit son orgueil déjà bien démesuré, mais moins que le Bubu a coté d’elle. Bien sur, Arisu pouvait reste,r mais elle verrais, que le morceau de viandes avait déjà choisi son propriétaire depuis une bonne quinzaine d’années. Yuukô reçu bien le regard de Kurogane. Un des rare qui lui faisait toujours chaud au cœur. Un regard que même les chien battu ne pouvait égaler, il était étrange a quel point Kurogane pouvait faire ce qu’il voulait de Yuukô quand il plongeait ses yeux rubis dans les siens de cette manière.

Arisu était dans ce genre de moment l’exemple même de celle qui tient la chandelle, et Yuukô connaissant Arisu comme si c’était sa propre fille, cela lui déplairait sûrement plus qu’autre chose. Mais la magie de l’amour, version belle au bois dormant et autre conte de fée, faisait effet, on n’y pouvait rien.

Kurogane cessa de fixait Yuukô ainsi, qui allait se liquéfier sur place de toute manière a force d’être contemplée de la sorte. Le Cerbère se retourna vers Airsu, son regard était de glace et sa voix de même. Yuukô aurait put en tressaillir tant le calme non réputé légendaire de son mari était présent. L’aimait plus que lui ? Elle était un peu larguée là, il fallait l’avouer. Elle ne comprenait pas trop pourquoi ce soudain revers de médaille, mais il était vrai, que jusqu'à présent, aucun homme n’avait sut aimé plus Yuukô tel qu’il l’avait fait.

Elle poussa un soupir, Colley VS Berger-Allemand, round 1 check : WINNER IS KUROGANE. Sur quel terrain allait se passer le round deux ? Mais pour une récompense tel que Yuukô, tout était permis, en amour comme a la guerre.

Round 2 : FIGHT.

Un combat que Yuukô se promettait de ne rater pour rien au monde, sauf le saké, mais c’était hors catégorie.

Nombre de messages : 2 Age : 31 Date d'inscription : 14/01/2007

Alors qu'elle sortait tranquillement de sa chambre, écouteurs aux oreilles, Jade croisa son père dans le couloir du premier étage. Il avait l'air furieux. Il se précipita dans sa chambre et en claqua fortement la porte. Sa fille soupira. Elle s'attendait à ce qu'il fasse cela.

Son père était encore d'humeur invivable. Elle supposait que sa mère aussi. Car voyez-vous, Jade ne s'était pas rendue compte que la boutique avait accueilli cette chère prêtresse d'Arisu. Elle descendit calmement, en mordillant l'un de ses écouteurs, se demandant ce qu'il avait encore bien pu se passer entre ses parents.

Elle ouvrit le shôji du salon, le franchit et atteint la cuisine: là se trouvait la réponse à sa question.

" Bonjour, Arisu-san! Comment allez vous? "

Demanda-t-elle, en allant faire la bise à la jeune femme. Apprentie de Yûko elle même, Jade appréciait Arisu car elles partageaient le même sentiment envers la sorcière: l'admiration. Jade était fascinée par sa mère. Elle donnerait n'importe quoi pour être un jour aussi forte, belle et intelligente qu'elle. Devenir la seconde sorcière des dimensions. Et la jeune fille y travaillait avec acharnement.

Désormais, elle comprenait mieux l'attitude de son père. Elle l'admettait, il s'énervait souvent, mais là, ce ne pouvait être une coïncidence. Il avait dû se disputer avec Arisu. Jade rangea ses écouteurs dans sa poche, puis demanda, en s'asseyant:

" Puis-je me joindre à vous? "

Elle s'assit donc, silencieuse et souriante, près de sa mère et de sa plus grande fan. Il y avait quelque chose qu'elle n'osait dire, et elle sentait que sa mère l'avait remarqué. Alors, elle poussa un second soupir, puis avoua, en regardant Arisu:

" Je vais vous dire franchement ce que je pense. Ca me désole de vous voir vous disputer vous et mon père pour ma mère. Papa devrait arrêter de se méfier comme si vous alliez lui voler maman, mais je pense que vous aussi, vous devriez faire des efforts. "

Elle rougit un peu d'avoir été aussi franche, mais Jade avait décidé que désormais elle serait aussi directe et présente que possible.

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-" Ma tendre Jade ..."

Arisu se retourna pour voir Jade avancer dans la pièce. Elle était tellement jolie, une vraie petite poupée et de plus elle avait un air de ressemblance trés prononçé avec sa mère. Elles étaient vraiment deux femmes extraordinaire et Arisu le disait à Jade sans qu'elle ne mesure ses paroles. Alors elle laissa Jade passer pour qu'elle aille prendre place prés des deux parents. Yuuko prenait un grand plaisir à cette dispute alors que le coeur d'Arisu était brisé. Mais elle avait cette habitude et s'en relèverai pour autant elle n'en sera pas plus forte. Mais c'était la vie.

-" Que de sage paroles. Comprends ta fille, traite âne !! Je ne suis pas un homme et ta femme ne pourra jamais se passer de toi! Que je sois la plus belle sage du monde ou non, que je me fasse homme pour essayer de la comblée plus que toi tu ne pourrais le faire, elle t'aime tellement que même sans virilité elle serait ta femme !! J'ai toujours été jalouse de toi mais mon pas pour le faite que Yuuko soit ta femme !! Elle est une perle et tu l'as traite trés mal à mes yeux ... je ne changerais jamais d'avis à point c'est tout !! Je l'aime et ça que tu le veuilles ou non !!"

Bon elle c'était emporté mais la douleur était bien trop grande. De plus elle savait que ce donner en spectacle n'était pas la plus brillante des manières pour lutter mais elle n'allait pas se sentir bien si elle repartait sans s'être battue, qu'elle soit vaincue ou pas. Se battre pour un idéal était bien au dessus de toute réussite.
L'amour restera un immense champs de bataille et Arisu sait qu'elle demeurera l'une des plus blessée de ses victimes. Qu'il en coute son sang et foi, Arisu restera ce qu'elle clame être et cela même jusqu'à son dernier souffle. Elle est la Seconde de Yuuko et prêtresse diseuse de bonne aventure et donatrice d'espoirs. Et ce fiefé chien de Kurogane n'en changera au grand jamais .. RIEN !!

-" Maintenant que je n'ai plus rien à perdre, ni à gagner, je vais me retirer... je ne voudrais pas gêner la fierté de monseigneur sur son territoire... Yuukô ... on se vera plus tard et toi Jade, ne changes pas, tu es bien la seule raison que cette maison compte... Bye et gardez les gateaux..."

Arisu se retourna alors pour reprendre son souffle, marchant vers la sortie tout en passant par le magazin alors. De toute manière elle en avait assez de ce battre sur un terrain conquis ... bientôt la poignet de la porte fut entre les doigts de la jeune femme en pleure ... elle pleurait dans le plus intense des silences.

Lorsqu’Arisu voulut partir, Yuukô se leva pour aller la retenir, avant de se rasseoir sur le champs. Elle y tenait, a sa jeune prêtresse, et elle ne pouvait le nier, Arisu était sa seule amie, seulement… Cette histoire d’amour la gênait énormément, et bien que Yuukô ne soit pas le genre de femme à l’être, et plutôt a partir dans un certain délire dans le but d’enquiquiner son mari si facilement enquiquinable, là les gens devenaient possessifs envers des choses que l’on ne posséder.

Bien évidemment voir pleurer ainsi sa jeune protéger lui faisait mal, mais elle n’avait pas le choix… Comme l’avait si bien dit Airsiu, même sans virilité elle aimerait son mari, et ce, qu’importe le prix et les mauvaises humeurs quotidiennes que cela comptait…

Elle finit son thé sagement – elle s’en était fait un entre temps – et entendit la porte se fermer… Son mari se ferait taper sur les doigts ce soir. Se tournant vers sa fille et lui offrant une bise sur la joue en guise de bonjour, elle se leva et alla dehors à la suite d’Arisu chercher le courrier. Cette matinée annonçait déjà la couleurs de la journée, noire pour tout le monde.

Elle irait voir sa tendre dans l’après midi et s’excuserait au près d’elle. Mais avant toutes chose, aujourd’hui un client important allait venir, il fallait donc se préparer en conséquence… C’était finalement, une journée bien plus banale que les autres…

[Sujet terminée ]

» Etrange rencontre