- Cela est à l'état experimental, donc non fini u_u -
Kurogane in Wonderland.
Kurogane ouvrit les yeux doucement ou presque. Ils étaient arrivés dans un nouveaux monde, mais à sa surprise, il n’y avait ni Mokona, ni shaolan, ni Sakura ni même ce crétin de mage devenu borgne. Quel étrange chose. Se relevant doucement, il observa les lieux, à l’affût du moindre geste prouvant que ses amis, compagnon, ex petit ami futur, pancake de secours étaient en vie. Mais rien, absolument rien, qu’une grande pièce sombre avec une table. Table sur laquelle était posée une clé.
Prenant la clé avec méfiance – sait on jamais, peut-être peut elle l’attaquer – il observa une nouvelle fois la pièce sans pour autant trouver de porte ou de serrure où il pourrait insérer cette fichue clé qui venait d’il ne sait où et dont il ne savait pas si elle allait lui servir ou non. Car d’après la logique, une clé sert à ouvrir une porte, mais s’il n’y a pas de porte on ne peut pas se servir de clé, et donc, on ne peut pas retrouver ses compagnons de voyage, aussi stupides soit-ils.
« ICI ! »
Kurogane sursauta. Il n’avait senti aucune présence, qui parlait ? Une petite voix aiguë, dont la provenance était encore inconnue, tout autour il n’y avait rien capable de dégageait un quelconque son. Juste un espace confiné et noir. Pourtant la voix reprit de plus belle. Finissant par se mettre à terre, il put voir une minuscule porte. Ce n’était tout de même pas cette porte que cette clé ouvrait, si ? Et ce n’était tout de même pas cette porte qui venait de parler ? Non bien sûr, le portes ca ne parlent jamais, c’est connu. Pourtant…
« Bonjour Monsieur ! »
Kurogane se recula de quelque centimètre. Et bien si, maintenant, les portes pouvaient parler.
« Tu…tu N’importe quoi. Les portes ne parlent pas. Ressaisi toi Kurogane.
- Si Monsieur, c’est moi même qui ai parlé…
- Toi, la ferme ! »
Kurogane et le mystère de la porte parlante (1)… Observant la finition de cette porte aux proportions inimaginables tant elles étaient petites, Kurogane se demanda comment il allait pouvoir passer cette porte, car si cela se trouvait, ses compagnons étaient peut être derrière.
« Monsieur à peut être un vœu à exaucer ? »
Se relavant d’un coup, allons bon, voilà que maintenant les portes avaient le même caractère que cette sale sorcière. Si ça se trouvait, c’était à cause d’elle qu’il en était réduit à résoudre le mystère de la porte parlante version maison de poupée. Pointant la porte du doigt il déclara de son air habituel –comprendre mauvaise humeur chronique –
« Retrouver mes compagnon de voyage.
- Il fallait le dire monsieur »